Svp quelqu’un peut me le faire c’est noté pour demain !!Conjuguez les verbes entre parenthèses au temps de l'indicatif demandé. Sur ce sentiment inconnu dont l'
Question
de l'indicatif demandé.
Sur ce sentiment inconnu dont l'ennui, la douceur m'
(obséder, présent), j ..
... (hésiter, présent) à apposer le nom,
le beau nom grave de tristesse. C'
.... (être, présent) un
sentiment si complet, si égoiste que jen. ..... (avoir, présent)
presque honte alors que la tristesse m'
..... (paraître, passé
composé) (toujours] honorable. Je ne la ..... (connaître,
imparfait) pas, elle, mais l'ennui, le regret, plus rarement
le remords. Aujourd'hui, quelque chose ..... (se replier, pré-
sent) sur moi comme une soie, énervante et douce, et me
.... (séparer, présent) des autres.
Cet été-là, j' .... (avoir, imparfait) dix-sept ans et j' .... (être,
imparfait) parfaitement heureuse. Les « autres » ..... (être,
imparfait) mon père et Elsa, sa maîtresse. Il me ..... (falloir,
présent) tout de suite expliquer cette situation qui .... (pou-
voir, présent) paraître fausse. Mon père .….... (avoir, imparfait)
quarante ans, il ..
.... (être, imparfait) veuf depuis quinze ;
C
.... (être, imparfait) un homme jeune, plein de vitalité,
de possibilités, et, à ma sortie de pension, deux ans plus
tot, je. .... (pouvoir, plus-que-parfait, forme négative) ne pas
comprendre qu'il vécût avec une femme. J' ..... (admettre,
Plus-que-parfait) moins vite qu'il en changeât tous les six
mois I
D'après Françoise Sagan, Bonjour tristesse (1954], Julliard, 2007.
1 Réponse
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1. Réponse maudmarine
Bonjour
Conjuguez les verbes entre parenthèses au temps de l'indicatif demandé.
Sur ce sentiment inconnu dont l'ennui, la douceur m'obsède, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse. C' est un sentiment si complet, si égoïste que j'en ai presque honte alors que la tristesse m' est apparu (toujours] honorable. Je ne la connaissais pas, elle, mais l'ennui, le regret, plus rarement le remords. Aujourd'hui, quelque chose se replie sur moi comme une soie, énervante et douce, et me sépare des autres. Cet été là, j' avais dix-sept ans et j'étais parfaitement heureuse. Les « autres » étaient mon père et Elsa, sa maîtresse. Il me faut tout de suite expliquer cette situation qui peut paraître fausse. Mon père avait quarante ans, il était veuf depuis quinze ; C 'était un homme jeune, plein de vitalité, de possibilités, et, à ma sortie de pension, deux ans plus tôt, je n'avais pas pu comprendre qu'il vécût avec une femme. J'avais admis moins vite qu'il en changeât tous les six
mois I
D'après Françoise Sagan, Bonjour tristesse (1954], Julliard, 2007.